Cela n'a échappé à personne, mais nous sommes le 17 décembre 2006.
Dans 8 jours, nous (enfin, quand je dis nous...) fêterons la naissance du petit Jésus, dans deux semaines nous (moi aussi cette fois-ci) changerons d'année, dans trois semaines nous fêterons les Rois ( Gaspard, Balthazard, Chirac), dans deux mois nous fêterons les amoureux (gros taux de suicides ce jour là), et dans quatre mois nous voterons pour le candidat à l'élection présidentielle de notre choix.
Et c'est bien là le problème... "de notre choix"
Faites un petit sondage autour de vous, et je suis bien curieux de connaitre le pourcentage de personnes persuadées d'avoir trouvé LEUR candidat.
Mise à part pour les électeurs de Le Pen, qui eux savent pour qui voter, et se déplaceront en masse porter leur champion au second tour, il règne une confusion totale pour les autres, et surtout une véritable question existentielle politique.
Le PS ?
Les pauvres militants de ce qu'il reste du parti de Mitterrand se retrouvent avec la Madonne, la Vierge Marie (j'aurais bien fait un commentaire à ce sujet, mais il parait que ça ne se fait pas), bref comme l'a si bien dit je ne sais plus qui, l'image sans le son. Ségo est à mon avis une véritable insulte à l'image de la femme, sa popularité ne tenant qu'à son parraitre et non pas à ses idées (contradictoires à souhait).
Et même si Hollande tire les ficelles, nous sommes loin des compétences requises pour diriger la 5ème puissance mondiale.
Un DSK, ou même un Fabius, un Rocard, et surtout un Kouchner, auraient été plus adéquat.
C'est important le candidat d'en face, c'est celui qui va permettre aux débats d'être des débats de qualités grâce auquels les français pourront choisir en connaissance de cause. Et pour le moment, la seule certitude que nous avons de Ségolène Royal, c'est qu'elle appliquera un plan socialiste archaique, dérivé de la période Jospin, et qui plongerait notre pays dans une crise définitive.
La gauche anti libérale ?
Je passe sur des idées qui feraient hurler de rire Castro lui même s'il était encore en vie, les gauchistes se montrent plutôt comme une bande de rapaces qui s'acharnent sur le cadavre du Parti Communiste. D'ailleurs, la démonstration est faite que même eux ne le sont pas communistes, puisqu'ils passent leurs intérets personnels devant l'intéret collectif.
L'UDF ?
Pour le moment, Bayrou n'est bon que devant Claire Chazal, ce qui fait un peu mince pour être Président (quoi que...)
L'UMP ?
Que les choses soient enfin claires : Je suis un homme de droite.
Parce que je veux bien que l'on me traite de sale arabe, de sale juif (j'ai eu droit aux deux, et même sans aller voir un match du PSG pour ça), mais de gauchiste... ça fait mal.
Et j'ai un scoop terrible à qui veut l'entendre : On peut être fièrement ancré à droite sans être sarkozyste (et oui les jeunes... je sais, c'est pour vous beaucoup de remises en questions)
Dans ce paragraphe UMP, je vais dire "je", sachant que quand je dis "je", je sais, en toute humilité, que je représente une bonne partie de la droite républicaine.
Le problème avec l'UMP, c'est qu'ils sont partis beaucoup trop à droite.
Chercher l'électeur du Front national, comme le dit Sarkozy, c'est bien.
Il ne faut surtout pas l'isoler, il faut le comprendre, lui demander pourquoi, si c'est par conviction ou par désespoir. L'électeur du Front National est évidement un électeur comme un autre et il doit être écouté et surtout entendu.
N'oublions pas qu'il représente 1 électeur sur 5 (!)
Mais on ne va pas aller le chercher avec les idées du Front National, ça n'a pas de sens. Sarkozy a décidé de mener sa campagne sur le thème de l'immigration, en proposant entre autres un ministère de l'immigration (très bonne idée ceci dit, piquée à DSK d'ailleurs)
D'accord, réguler l'immigration, c'est important. Mais de là à en faire son principal cheval de bataille, ça devient dangeureux et ça apporte la confusion.
Mettez vous à la place de l'électeur du Front National.
Pourquoi voter Sarkozy, alors que Le Pen travaille sur ce terrain depuis déja 30 ans.
Pour récuperer l'électeur du FN, faut du neuf, et pas du FN bis.
Dernièrement, Sarkozy a commencé enfin à se retourner vers les jeunes de banlieues. Réalisant un peu tard qu'il s'agit d'êtres humains, et pire, d'électeurs. Mais j'ai bien peur, pour l'avoir entendu plusieurs fois, que la pensée du rappeur Rust, de voter plutôt Le Pen que Sarkozy ne se généralise.
Ce serait une terrible démonstration qu'un noir ou qu'un arabe est avant tout un français.
Et puis aussi difficile pour moi à digérer que le lepenisme, le bushisme.
Impossible de cautionner une attitude pro Bush, sachant le mal que cet homme a fait à notre planète.
Enfin, je passe sur la brutalité du personnage Sarkozy et le fonctionnement Stalinien de son (de mon !) parti, et même en m'arrêtant sur son formidable talent et une bonne partie des idées que je partage avec lui, je ne suis pas vraiment sûr d'être ravi de le voir s'installer à l'Elysée en mai 2007.
Alors... on est bien emmerdé.
Sauf, qu'il existe quelque part, un village républicain qui résiste encore à l'envahisseur populiste.
Un endroit où les gens de droite sont fiers d'être à droite, et surtout savent brillament conjuguer économie libérale et mesures sociales. Une petite île dont le chef est le ministre le plus aimé du gouvernement, et pour cause, il est presque le seul à obtenir de bons résultats. Et de bons résultats dans son domaine veulent dire amélioration de la vie pour beaucoup.
Ce village républicain, c'est le Parti Radical.
Et son chef, c'est le ministre de la cohésion sociale Jean Louis Borloo (associé à Monsieur André Rossinot, respectable pillier de la politique française).
Le Parti Radical est le plus ancien parti politique de France.
Il représente à ce titre la tradition républicaine et la sagesse.
Et pourtant, lorsque l'on écoute son message, on se dit surtout qu'il incarne l'avenir.
Loin de l'angélisme babadébile (et surtout déconnecté) de la gauche, loin de l'ultradroite communautariste et donc dangeureuse, le Parti Radical associe la réalité économique aux besoins sociaux. Le discours de Jean louis Borloo lors du congrès d'hier était on ne peut plus concret.
Arrêter de taxer bêtement le travail, alléger les charges des entreprises, former les jeunes uniquement à des domaines d'activité qui débouchent sur un travail, donner de l'indépendance aux établissements scolaires, poursuivre son plan de rénovation urbaine, je ne peux pas en quelques lignes exposer son programme pour relancer la consommation, la croissance et donc l'emploi, mais je mettrai ici ses principales propositions prochainement.
Et puis surtout, Borloo et le Parti Radical, c'est la mise en avant des valeurs humaines. L'humanisme dans les contraintes du monde réèl. Le sentiment que le seul qui peut nous sortir des difficultés, c'est avant tout nous même. Car nous avons tous en nous la capacité de relever la tête, autant faut-il regarder dans la bonne direction. Etre Radical, c'est s'aider soi-même en aidant les autres.
Et comme l'a dit hier Jean Louis Borloo :
Aimer son pays c'est le servir, ce n'est pas s'en servir.
Le congrés du Parti Radical a été une succession d'espoirs relancés, par le discours de Borloo, mais aussi par les trois tables rondes regroupant de nombreuses personnalités de toutes origines (dans tous les sens du terme), et les nombreux ministres présents ne s'y sont pas trompés.
Lorsque la Marseillaise a retenti à la fin, elle voulait vraiment dire quelque chose.
L'Union, la vraie.
Une déception ?
Bien sûr, une et une seule. Mais elle est de taille.
Nous n'avons pas eu droit à la dernière phrase que tout le monde attendait de Borloo : "Je suis candidat à l'élection présidentielle".
Si bien qu'il faudra, si les choses en restent là, se réunir (sous conditions tout de même) autour du candidat (auto)désigné de la droite.
Car le plus important reste que la droite remporte les élections de 2007, un retour de la gauche serait un véritable drame.
Et oui, il est à craindre, que n'étant pas super emballé par lui, je sois obligé de soutenir Sarkozy.
Enfin, on ne sait jamais.
Peut être que Jean Louis Borloo se décidera un jour à y aller et représenter la droite républicaine. En tout cas, il a un boulevard devant lui.
Car au fond de nous, on est tous des Radicaux.
Bon, enfin c'est clair au niveau du positionnement politique. Le problème, c'est que Borloo ne se présentera pas et que les gens de droite vont devoir soutenir sarko.
Et on les plaint...
Rédigé par : kamel | 17 décembre 2006 à 13:28
Kamel a raison, c'est trop tard pour que Borloo se présente. Médiatiquement, Sarko a trop d'avance, il aurait fallu s'y prendre plus tôt, mais c'est dommage.
joli texte
Rédigé par : claire | 17 décembre 2006 à 16:11
L'UDF ?
Pour le moment, Bayrou n'est bon que devant Claire Chazal, ce qui fait un peu mince pour être Président (quoi que...)
Un peu dur pour Bayrou, il y a beaucoup de bonnes choses chez lui.
Et c'était un pote de Borloo.
Ils peuvent retravailler ensemble.
Rédigé par : fred | 17 décembre 2006 à 16:29
De létranger, sarkozy semble être un type dangeureux.
Mais Borloo, on ne connait pas.
Rédigé par : rita | 17 décembre 2006 à 16:33
Mon cher Franck,
Comme je te l'ai déjà dit hier, la maïzena ne doit pas s'autoglorifier isolément d'être ce qu'elle est. Si elle veut faire gonfler le gâteau, il faut qu'elle assume de se mêler à lui. Il y a beaucoup de bonnes choses au Parti radical, qu'attend le Parti radical pour insuffler toutes ces idées au sein de l'UMP ?
Tandis que le PS nous offre une parodie de débat, puis phagocyte successivement Taubira et même Chevènement, le Parti radical est certes clair dans son positionnement "Avec Sarkozy, pour peser de tout son poids dans le débat", mais certains militants comme toi continuent à ne pas jouer le jeu de cette complémentarité.
Franck, si tu rêves de voir Sarkozy se transformer en Borloo, tu te trompes : Borloo est très bon, mais Sarkozy aussi, et de façon complémentaire. Enrichissons le projet de l'UMP par les 5 "engagements" (j'ai bien noté la sémantique) de Borloo. Mais ce n'est pas en dénigrant Sarkozy que tu aideras Borloo... Non, Sarkozy n'est pas un type brutal, et ta qualification hasardeuse de l'UMP donne à tes lecteurs l'impression que tu méconnais ce que fut l'URSS d'avant 1953.
Sarkozy avait annoncé vouloir présenter un ticket "à l'américaine" pour les présidentielles. Sarko-Borloo, je vote des deux mains, et nous engageons pour la France des chantiers salutaires.
Et Borloo en Premier ministre et ministre de l'Instruction, ça aurait de la gueule !
Rédigé par : Vincent | 17 décembre 2006 à 16:55
Salut Vincent.
Je joue le jeu, puisque j'affirme que si Borloo ne se présente pas, je serais bien obligé de soutenir notre président que Dieu le bénisse comme on dit à l'ump.
Je ne vois pas Borloo premeir ministre de Sarko. Ce serait fantastique dans la mesure où Borloo pourrait être libre de ses actions, mais on connait tous Sarko. Il voudra d'un premier ministre "larbin" entièrement dévoué à la volonté présidentielle.
Genre Fillon, quoi.
L'association Sarko / Borloo est bonne sur le papier, mais l'égo du patron de l'ump me fait penser que dans la pratique....
Jacques !!!
Fantastique ta réponse !!!
Rédigé par : franck | 18 décembre 2006 à 09:58
La réponse de Jacques est significative.
Les français se voient comme une puissance principale, mais de l'étranger on voit une France en déclin total.
Ce monsieur Borloo manque d'envergure internationale, mais pas plus que Royal.
Quant à Sarko, c'est bush 2, donc on n'en veut pas !!
Rédigé par : samia | 18 décembre 2006 à 10:06
Borloo a dit hier sur LCI qu'il n'était candidat à rien d'autre que député de sa circonscription.
Rédigé par : habibi | 18 décembre 2006 à 10:27
Mais j'ai bien peur, pour l'avoir entendu plusieurs fois, que la pensée du rappeur Rust, de voter plutôt Le Pen que Sarkozy ne se généralise.
Je confirme.
J'ai entendu des propos similaires sur beur fm !!
C'est inquiétant, et c'est la faute de sarko qui a complètement légitimé les idées de le pen.
Si bien que les jeunes sont perdus et sont prêts à faire des conneries.
Rédigé par : patrick | 18 décembre 2006 à 10:42
Qui sème le vent récolte la tempête pour Sarko.
Il va être la première victime de son mauvais choix de thème de campagne, le pen lui pique des électeurs (!!)
Le parti radical est l'institution nécessaire à la politique française, mais sont ils capables de prendre le pouvoir ?
Rédigé par : kamel | 18 décembre 2006 à 10:58
Vincent !
Détendez vous !
Vous êtes tendu comme votre copain Sarkozy.
faut se rendre à l'évidence, Sarkozy merde de plus en plus, il perd de plus en plus de soutien. C'est la dure loi de la politique. Y'a plus qu'à l'ump et au Fn qu'il fait encore rêver.
J'adore Borloo !!!
s'il est pas président en 2007, ce sera pour 2012.
Rédigé par : maurice | 18 décembre 2006 à 11:47
Aimer son pays c'est le servir, ce n'est pas s'en servir.
Une phrase que devraient recopier 100 fois tous nos politiques !
Rédigé par : marjolène | 18 décembre 2006 à 11:51
Quelle déception que Borloo ne se soit pas présenté !
Quel gachis de talent !
C'est lui dont la France a besoin.
Rédigé par : thierry | 18 décembre 2006 à 15:49
Oui Franck ! Borloo c'est quelqu'un avec ce grand discours républicain !
mais comme tout le monde le dit: dommage et quel gachis !
Sarkozy a phagocyté son camp. Voila: les bons honnêtes compétents et républicains à droite obligé de pactiser avec ce qui constitue au fond leur antithèse.
Vraiment dommage.
Rédigé par : om | 18 décembre 2006 à 16:16
C'est plein de gens déçus ici, et c'esr révélateur d'une population qui cherche espoir en un homme (ça peut être une femme) pour les sortir de cette mauvaise situation dans laquelle est la France.
C'est clair que ça ne peut pas être Ségo, elle est nulle.
Ni Sarko, c'est devenu un facho brutal.
Du coup, les actions et le discours juste de Borloo avaient réveillé l'espoir chez beaucoup.
Mais espoir déçu, comme avec Delors qui ne s'est pas présenté en 1995.
Rédigé par : fred | 19 décembre 2006 à 10:31
Les gens sont déçus parce qu'ils ne croivent plus en rien. C'est le pen qui va récolter les fruits de toute cette déception.
(je parle de déception en général, c'est pas la faute de Borloo...)))
Rédigé par : samia | 19 décembre 2006 à 11:01
Hors de question de soutenir sarko !!! Je préfère voter Ségolène Royal, elle va ruiner le pays mais au moins elle nous amènera pas vers la guerre civile !!!
Rédigé par : goulard | 19 décembre 2006 à 15:11
Tu vois Franck, tu arrives exactement au résultat opposé de ce que tu prétends défendre : plutôt que d'expliquer les propositions de Sarkozy et en quoi celles de Borloo sont merveilleusement complémentaires, tu participes au discours caricatural de la gauche sur Sarkozy, et tu fais un croche-pied à Borloo qui ne sera certainement pas le Premier ministre de Ségolène Royal si elle passe.
Je propose de construire par complémentarité, tu ne fais que critiquer en opposant.
Et du coup, tu ne récupères que des remarques parfaitement excessives : guerre civile, facho, bush 2...
Et je te signales que tu applaudis la réponse de Jacques, qui signe quand même un fort joli troll : "Ses 30% de supporters a Herr SS Sarkozy et ses troupe de S.A."
Le Parti radical et Borloo ne cessent de répéter qu'ils soutiennent Sarkozy, qu'ils sont AVEC et non pas CONTRE. Qu'ils souhaitent peser de tout leur poids pour apporter des réponses sociales de fond aux inquiétudes, au chômage, à l'Education, aux bas salaires, etc.
Le problème de nombreux militants radicaux, c'est qu'ils ne semblent pas avoir entendu le message. Vous préférez détruire et vous positionner contre, que travailler ensemble et de façon complémentaire.
Rédigé par : Vincent | 19 décembre 2006 à 17:19
Vincent.
Je comprends ton point de vue mais il faut de ton coté s'ouvrir et comprendre le point de vue des autres, ce qui, je le sais, pour un sarkozyste, n'est pas chose facile.
Il existe toute une population de droite qui veulent que la France reste à droite, essentiellement pour des raisons économiques. Nous sommes tous conscients qu'un retour de la gauche au pouvoir est synonyme de crise définitive et d'isolement de notre pays qui deviendrait alors l'un des derniers pays de gauche antilibérale du monde.
Mais, on ne peut pas moralement cautionner certaines actions, certains propos, certains préjugés, toute cette dérive communautaire et raciste dans laquelle notre parti politique s'est échoué.
(je t'invite au prochain diner d'un député de paris... hallucinant !)
J'ai entendu de mes propres oreilles des jeunes issus de l'immigration qui voteront Le Pen plutot que Sarko. Et je ne veux pas entendre que ces jeunes ne savent pas ce qu'ils font, arrêtons de croire que les français sont idiots.
C'est ce débat qu'il faut avoir à quatre mois des élections : quel identité pour notre parti ? Un FN Bis (ose me dire que ce n'est pas le cas) ou une vraie droite républicaine qui tente de rassembler notre population (Borloo et Bayrou en sont les seules défenseurs pour le moment, mais Borloo lui a des idées).
Le soutien des Radicaux à Sarko ne se fera pas sans conditions (je sais de quoi je parle).
Des engagements de Sarkozy pour des mesures plus sociales et moins communautaristes seront alors nécessaires.
Et tu sais aussi bien que moi que Sarko ne gagnera pas sans Borloo.
Alors la balle est dans le camp du président de l'UMP.
Mais il n'a pas l'air de l'avoir compris, lorsque l'on entend un discours comme celui de lundi soir, dans lequel une fois encore il se fait un plaisir d'opposer une France à une autre.
Va falloir une sérieuse remise en question des cadres de l'UMP, parce que vous allez faire gagner la gauche. Et là, ce sera très grave.
Concernant la réponse géniale de mon ami Jacques, c'est tout simplement la vision que les étrangers ont de notre pays (à peine caricaturée). Cessons de nous voiler la face.
Alors au boulot, et surtout REMISE EN QUESTIONS !!!
Rédigé par : franck | 20 décembre 2006 à 10:39
En fait pour résumer.
Les sarkozystes et nous.
Nous partageons les mêmes idées mais nous ne partageons pas les mêmes valeurs.
Et moi j'aurais bien vu un Borloo Président avec comme premier ministre... Sarkozy.
Là, ça marchera...
Rédigé par : franck | 20 décembre 2006 à 11:27